CONTE(S) DU TEMPS D'AVANT PERRAULT
2023
CRÉATION 29 NOVEMBRE 2023 AU THÉÂTRE DES MARRONNIERS
Mise en scène : Benjamin Forel
Interprétation : Nazly Tovar
Texte : Benjamin Forel et Nazly Tovar
Inspiration :
Le Conte des Contes de Giambattista Basile
Les contes du temps d’avant Perrault de Jean-Jacques Fdida
Lumières : Alexandre Bazan
Costumes : Marie-Pierre Morel-Lab
Soutiens, espaces de création :
Le Magasin, Saint-Étienne (42)
La Ferme du Vinatier, Bron (69)
Centre National de la Danse, Lyon (69)
Théâtre des Marronniers, Lyon (69)
Contes(s) du temps d’avant Perrault est une pièce qui dépoussière nos classiques pour mieux en révéler saveur et face cachée. Benjamin tourne son regard vers la jeunesse en créant un spectacle qui surprendra et séduira parents et adolescents. Les contes viennent de loin. Ils ont évolué avec le temps et les mœurs. De ces sources et leurs mystères nous faisons la nouvelle matière à jouer de la compagnie.
Photos de répétitions
Mise en scène : Benjamin Forel Jeu : Nazly Tovar Lumières : Alexandre Bazan
Mise en scène : Benjamin Forel Jeu : Nazly Tovar Lumières : Alexandre Bazan
Photos de répétitions
Loin des visions naïves et édulcorées de Disney, les héroïnes retrouvent ici toutes leurs forces et leurs splendeurs. Dans cette pièce, le verbe jaillit du principe féminin. Il est la matrice métaphorique du mouvement vers la réhabilitation de la puissance des héroïnes de nos contes de fées.
C’est en toute transparence que Nazly se présente à la scène et c’est avec l’humilité de son identité qu’elle cherchera la plus petite parcelle de vérité humaine présente dans tous ces personnages millénaires.
Nous ne cherchons pas une incarnation des personnages connus de tous mais comment nos corps content ces héros et héroïnes de notre enfance. C’est pourquoi, dans ces Conte(s) du temps d’avant Perrault, Nazly Tovar se glissera malicieusement dans la peau de chaque protagoniste. La peau n’ayant pas de sexe. La peau étant la surface de nos émotions. C’est ce colportage oral fait de corps que nous vous proposons.
Car, « Mange, mon enfant ! C’est ta chair ! Mange, mon enfant ! C’est ton sang ! »